Nous venons d’identifier la personne qui se trouvait être au centre des allégations calomnieuses et diffamatoires contre notre organisation, faisant l’objet de notre article du 9 novembre dernier, envoyées de la part d’un soi-disant « groupe » de vigilance contre les arnaques « vigilance-scams@yahoo.com« . En fait de « groupe », il s’agit de l’initiative d’un jeune belge d’une trentaine d’années [1]. Un cas social connu des services judiciaires depuis son enfance et en échec social et professionnel, à notre connaissance encore sans profession à ce jour hormis un peu de jardinage dont il essaie de vendre les produits tant bien que mal, père de deux enfants en bas âge, et semble-t-il perdu dans des délires paranoïaques anti-sectes tous azimuts, ayant exprimé, selon nos sources, le désir d’intégrer un cercle d’adorateurs de Satan « afin de pouvoir réussir dans la vie » (si tant est qu’il puisse y avoir un rapport prouvé entre l’une et l’autre situation), outre le fait que nous considérions que chacun est libre de croire en ce qu’il veut, conformément à l’article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen (https://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights). Il se prend d’ailleurs régulièrement pour un démon, et s’identifie compulsivement au personnage du « Joker » dans les histoires de Batman, tant physiquement qu’en termes d’idéal psychologique, toujours selon nos sources.
Nous encourageons d’ailleurs chaleureusement nos membres, partenaires et affiliés à porter plainte contre nous sans délais en cas de violation de la loi de notre part. D’autre part, si nous faisions l’objet de tant de plaintes internationales pour nos si nombreux méfaits, nous le saurions sans aucun doute et nous ne serions forcément pas les seuls.
Donc, au vu de l’état déplorable de la situation sociale et mentale du concerné et de la sévérité de la misère affective qui est la sienne, notre comité de direction a décidé à l’unanimité de suspendre les procédures d’instruction judiciaire engagées contre X (donc désormais contre lui puisqu’il s’est intelligemment identifié tout seul en postant un commentaire sur notre compte Facebook). Néanmoins, s’il devait s’acharner dans une « sainte » persécution d’un ennemi improbable, tel un Dom Quichotte partant en guerre contre les moulins, ou, s’il était parvenu à convaincre d’autres individus de son délire et pareillement engagés dans une lutte irrationnelle et vengeresse contre nous sous quelque improbable prétexte, sans preuve ni le début d’un dossier à charge contre nos agissements bien évidemment, nous nous verrions contraints de prendre les mesures requises afin de faire cesser les agressions, exigeant également de sa part une présentation d’excuses publiques, notamment auprès des destinataires de son message, en l’occurrence nos partenaires et relations, ainsi qu’aux personnes nommément citées et diffamées sans rapport avec nos membres.
Il est un fait que nous n’enfoncerons donc finalement pas le clou plus loin, à moins que ce ne soit l’arbre qui ne cache la foret, auquel cas, nous ne nous priverons pas de jouer au même jeu que celui dans lequel il s’est lancé, sans limites.
1 Mise à jour le 7 décembre 2023: le concerné nous a demandé, en date du 5 décembre, de bien vouloir retirer toute mention faîte de son identité, faute d’avoir obtenu notre consentement relatif au retrait pur et simple de cet article. Le droit suisse qui définit l’existence juridique de notre site Internet ne nous soumet pas à l’obligation de retirer la mention faite d’un individu à sa demande, même au titre de la nouvelle loi sur la protection des données, entrée en vigueur juridique le 1ᵉʳ septembre 2023, surtout lorsqu’il s’agit d’une agression diffamatoire, susceptible de poursuites judiciaires. Néanmoins, nous y avons malgré tout consenti à titre de bonne volonté. Comme quoi, notre soi-disant malveillance ne semble pas à aussi haut risque que les agissements de ceux qui nous la reprochent, et qui ne se rétractent que par la peur que leur inspirent nos possibilités non négligeables de ripostes.
Excuses reçues de la part du concerné, ce jour, via notre plateforme des contacts, et acceptées de notre part, ainsi que transmises aux personnes incriminées par l’email initial.
Le dossier est donc clos.