À propos de nous

Global Progress est une organisation internationale non-gouvernementale ayant pour vocation la redéfinition rationnelle des fondamentaux sociétaux, devant mener in fine à un nouveau standard civilisationnel axé sur le progrès pour tous, en lieu et place d’un précédant, ayant maintenu l’équilibre du monde au moyen d’une économie de la destruction, laquelle s’est appuyée sur la dette en tant que système financier.

Il a été judicieusement avancé qu’aucune solution pérenne à vaste échelle ne se montrerait jamais viable face aux grandes problématiques de civilisation qu’a connu le XXe siècle, du moins déjà à partir de la révolution industrielle. Néanmoins, il faut garder présent à l’esprit que l’ère industrielle s’est exclusivement appuyée sur les deux piliers d’équilibre (précaire) ci-avant cités afin de perdurer. Le fait est aussi que ceux-ci ne sont en aucun cas inamovibles, contrairement à l’idée opposée généralement répandue. Ainsi, il suffit d’une redéfinition cohérente des fondements de l’économie au sens large pour permettre que soient de même redéfinies de manière drastique les conditions d’existence d’une civilisation plus conforme aux besoins de l’espèce humaine, donc nécessairement plus idéale aussi, afin de l’enclencher effectivement le plus simplement du monde, et qui plus est en quelques mois seulement, tout au plus.

C’est en se fondant sur l’analyse du principe selon lequel Nikola Tesla, inventeur génial de l’électricité alternative  entre autres (dont la paternité ne revient aucunement à Thomas Edison), que nous sommes parvenus à mettre en évidence le moyen sûr et durable de définir les critères d’une nouvelle forme d’économie, permettant de redémarrer la civilisation humaine s’enlisant actuellement dans les conséquences de son incohérence. Cette « économie » renouvelée ne fonctionne exclusivement que sur le principe de la générosité, de la cosolidarité, de la dispense inconditionnelle et équitable de ressources gérées de manière rationnelle, responsable, équilibrée et respectueuse de la nature. En somme, cette nouvelle économie ne peut reposer que sur les valeurs humaines fondamentales et sur la capacité de l’Humanité à résonner, comme à faire preuve de conscience, fidèlement à l’exemple montré en permanence par la nature elle-même, et ce, dans une simplicité déconcertante.

Nikola Tesla était parvenu à fournir une énergie électrique constante et de qualité maximale sans avoir recours, ni à quelque destruction environnementale, ni à un système classique de bobines tel qu’on l’a généralisé depuis des décennies sur la Terre entière, du moins pour la part qui est effectivement alimentée en électricité. Cette technologie est brevetée et officiellement documentée. En somme, pour le grand public, on pourrait résumer son invention par le fait de produire de l’électricité « à partir de rien », tout ayant développé et parfaitement maîtrisé la technologie nécessaire à la canalisation de ce « rien ». Eh bien, nous avons entrepris la même démarche au niveau économique et financier, permettant de produire une source de prospérité, également infinie, et à partir du même type de « rien » que celui dans lequel Nikola Tesla allait puiser l’électricité, la rendant disponible à tous sans exception, sans effort, sans sacrifice des intérêts des uns au profit de ceux des autres.

Il pourrait nous être opposé que si de telles solutions aussi simples existaient vraiment, elles auraient été appliquées depuis longtemps, ou qu’elles auraient été au moins présentées au public, voire, a minima, aux experts les plus concernés. Outre le fait, comme envisagé précédemment, que l’Humanité doive représenter une force unifiée suffisamment évoluée pour conscientiser la légitimité d’une telle redéfinition de ses bases organisationnelles, le fait est aussi que des groupements d’intérêts financiers ont toujours fait barrage au progrès civilisationnel malgré ses diverses tentatives d’émergence sur le long terme, cela afin de garantir la croissance de leurs bilans de fin d’année. Il suffit pour s’en convaincre de voir le destin extrêmement court des divers brevets dûment déposés, exposant les tenants et aboutissant des moteurs à eau à seul titre d’exemple. Les nombreux conflits d’intérêts qu’auraient représenté l’émergence, avant l’heure, de telles propositions de progrès, les auraient fait tomber dans l’oubli avant même d’avoir pu naître au grand jour. Ce problème, aujourd’hui, a tout simplement disparu, laissant le champ libre aux esprits brillants, inspirés par l’élan naturel porté vers l’évolution d’une civilisation intelligente.

Nous pouvons affirmer, ici et maintenant, que ce temps de la destruction est définitivement révolu. Il existe un temps pour toute chose. Nous sommes déjà entrés dans celui permettant cette révolution-là. Il ne s’agit pas d’une nouvelle révolution industrielle, ni même économique malgré les apparences. Il s’agit d’une révolution de la conscience.

Nous vous souhaitons dores et déjà la bienvenue dans le nouveau paradigme global du progrès pour tous.

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Nos points de base

La majorité de nos structures sont encore en cours de finalisation légale et/ou de constitution, ce qui ne nous empêche pas le développement d’une force de travail emblématique dans le sens de nos objectifs et projets. Nous nous sommes attachés à consentir à l’entité « Global Progress International Non Governmental Organization » une représentativité intercontinentale, afin d’approcher au plus près des réels problèmes civilisationnels actuels, dans une logique d’approche visant la normalisation des vecteurs de solutions apportées par nos réflexions et nos entrées dans l’action. L’entrée en action de nos bureaux encore en cours d’étude ou de constitution est planifiée pour d’ici fin 2023 à début 2024. 

Nous attirons votre attention sur l’intégrale dématérialisation des contacts que nous entretenons actuellement, sauf rares exceptions. Tous nos échanges, de quelque nature qu’ils soient, s’effectuent par email, du moins par voie électronique, jusqu’à l’ouverture de notre service Relations Publiques & Presse, dont la date est encore indéterminée due à l’attente de certaines échéances dans le plan actuellement en cours.

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