Des enfants esclaves au XXe siècle
Quelle en est la réalité ?
L’information est dérangeante. Tellement dérangeante qu’à première vue, elle pourrait apparaitre peu crédible. Et pourtant, cette pratique que l’on devine vaguement sans vouloir y croire et donc s’y arrêter, est presque aussi vieille que le monde : l’exploitation humaine. Nous parlerons ici plus spécifiquement de l’exploitation des enfants, chaque pays étant impliqué en tant que fournisseur et consommateur, de manière directe ou indirecte. Mais commençons d’abord par définir ce que nous entendons par le mot « esclavage ». L’esclavage des enfants est un cran très nettement supérieur à celui de la maltraitance, car il s’agit d’une absence totale de considération quant à leurs besoins réels, quand bien même les plus basiques.
Au XXIe siècle, l’exploitation des enfants s’est transformée en industrie, particulièrement florissante, créant volontairement, à titre d’exemple, certains traumatismes permettant de les contrôler à plus long terme, pour en faire des esclaves consentants adultes, une personne brisée étant facilement manipulable.
Ces pratiques n’ont aucune limite, allant jusqu’à procéder rituellement à des sacrifices. Cette réalité étant difficilement supportable, nous nous concentrerons ici plutôt sur :
- La fourniture d’une main d’œuvre obéissante et bien plus que bon marché, pour l’élaboration de travaux pénibles, à divers degrés ou points de vue, dans le domaine du travail
- Le business très prospère de la pédophilie.
Les enfants utilisés peuvent être soumis à un exercice clandestin, mais aussi plus apparent comme dans les usines (bien que cette manifestation soit en régression, ce phénomène peinant actuellement à résister à la pression sociale). Certains pays sont spécialisés depuis longtemps en la matière, de manière particulièrement professionnelle, donc très efficace, parfois même à la vue de tout le monde. Tout cela fait partie du cadre de leur normalité et est banalisé en tant que tel. L’Asie en est l’épicentre, mais les pratiques criminelles ne sont pas limitées par les frontières. Tout cela a été rendu possible grâce à la connivence de certains membres des gouvernements, autres élus et législateur à gages qui ont sciemment légalisé le vice en instituant des lois le permettant, en contrepartie d’une rémunération alléchante et dont ils sont friands, que ce soit en pots-de-vin et/ou en nature, le contexte s’y prêtant tout particulièrement. L’Afrique centrale et l’Amérique du Sud n’ont rien à envier à l’Asie, exploitant sans vergogne d’autres sous-marchés, dits de niche.
Ils répondent ainsi à d’autres besoins, éventuellement plus rares, mais alors plus recherchés et donc tout aussi lucratifs si ce n’est plus. Tout cela est vraiment très professionnel, d’une expertise redoutable, tout étant rôdé et organisé de très longue date. Ils ont su exploiter le filon plus que rentable des sociétés occidentales qui ont vite trouvé leur intérêt financier à délocaliser, mais sans se salir les mains. Ils ont aussi diversifié et rendu accessible le modèle économique en ouvrant le marché sur des besoins locaux ou nouveaux. Les autorités nationales ou régionales, dans une connivence totale et inconditionnelle, ont contribué à couvrir tous ceux qui, tentés par l’appât de ce gain substantiel, ont fini par alimenter ce commerce, facile et juteux. Le vieil adage « tant qu’on gagne, on joue » s’est avéré vérifiable pendant des décennies, et ce, encore jusqu’à très récemment. Il est à noter cependant que certaines personnes, travaillant honnêtement dans le cadre de l’exercice de ces mêmes autorités, furent souvent ignorants des agissements de leur hiérarchie en haut-lieu, ou, dans le cas contraire, incapables d’intervenir au titre de la terrible pression qui pesait sur eux.
Et s’il est probable que pour un regard extérieur occidental, notamment pour le commun des mortels, cette pratique puisse apparaître à l’évidence odieuse, il n’en demeure pas moins que de manière générale, tout le monde y trouve son compte, y compris et surtout les pays occidentaux, s’affichant pourtant toujours si vertueux. Il suffit juste d’entretenir, avec un art consommé, un épais voile d’illusions sur le sujet. Certains diront familièrement que c’est « une affaire qui tourne bien ».
Les enfants, fournis en tant que matière première, sont souvent achetés (s’ils ne sont pas enlevés). Dans les pays fournisseurs, la vie est généralement très dure, de générations en générations, créant naturellement l’acceptation en rapport. Tout le monde ne vend pas ses enfants, mais cette option sait être suffisamment convaincante et lucrative, face à des gens manipulés dans cette optique, qui plus est, et quel que soit l’avis que l’on puisse avoir, la qualité de vie en devient bien meilleure pour les familles concernées.
Nous parlions précédemment d’enlèvements, devenus nécessaires pour un approvisionnement suffisant, la demande étant élevée. Il y a par exemple le rapt d’enfants dans les parcs d’attraction et les grands centres commerciaux (des centaines de milliers de mystérieuses disparitions tous les ans, les gouvernements refusant d’admettre ou d’expliquer quoi que ce soit). Certains souterrains cachent des fermes de production dans lesquelles les gens sont coupés, toute leur vie, du reste du monde, les conditionnant dès la naissance à produire ce qui est attendu d’eux. La destinée de certaines femmes se limite à devenir mère porteuse, permettant également une régulation des pulsions perverses des violeurs, et l’inexistence légale des enfants ainsi mis au monde, et donc non inscrit au registre de quelque État Civil que ce soit. La grossesse est vécue comme un moment de répit, notamment en termes de conditions de vie, le bébé produit devant être beau et en bonne santé pour l’usage attendu.
L’horreur que cela représente est suffisamment insoutenable pour inciter les gens à regarder ailleurs. Parler de dizaines de millions d’enfants concernés est en deçà de la vérité.
À ce jour, la totalité des structures souterraines ont été démantelées et les personnes concernées sont rééduquées pour un retour à une vie digne. La situation s’est globalement améliorée, tout comme à la surface, bien que les conditions de vie des enfants esclaves restent un sujet actuel et sensible. En termes opérationnels, pour ce dernier point, des équipes spécialisées, dédiées et infiltrées, ont retourné la situation, supprimant tout ce qui était inutilement pénible ou inhumain. Pour un regard extérieur, rien ne semble donc avoir changé, et pourtant tout est sensiblement plus différent que ce qui apparaît a priori au grand jour. Que ce soit clairement énoncé : des enfants continuent hélas à être exploités dans le monde du travail, et cela reste pénible, et dans tous les cas, intolérable. Mais il ne s’agit plus du tout des mêmes conditions, c’est plus supportable pour eux, même si, redisons-le, cela reste inacceptable en contexte.
Bien que la situation soit parfaitement sous contrôle, nous avons besoin d’un changement mondial de système pour permettre un abolissement de ce fonctionnement.
La rentabilité du business de la pédophilie dépasse complètement l’entendement. À titre d’exemple, le trafic d’armes (légal ou non) qui est censé être le commerce le plus lucratif au monde, est bien loin derrière. Nous le soulignons une fois encore, en plus de l’aspect plus que pervers de la situation, cela cause des traumatismes facilitant le « Mind Control ».
Il s’agit d’un marché secret et complexe, dont les tout premiers commanditaires étaient au sommet dudit « Deep State », lequel marché a été en grande partie démantelé grâce à des actions coordonnées dans lesquels nous avons investi nos propres ressources humaines. Rarissimes sont ceux qui savent de façon sûre qui dirige le « Deep State », mais certains pays comme Israël, avec des ramifications aux États-Unis et en Angleterre notamment, sont connus pour être particulièrement actifs et spécialisés dans le domaine de la pédophilie. Les gouvernements nationaux étaient au courant, mais maintenaient l’illusion pour conserver le pouvoir. Comme de nombreux marchés, celui de la pédophilie a été créée de toutes pièces, cette attirance sexuelle ne faisant pas partie, à l’origine, de l’ordre naturel des choses. Les besoins en rapport ont été artificiellement créées et entre autres entretenus par une puissante addiction.
Nous avons déjà entendu parler de la commande d’un enfant, précisément en les termes de: « une petite fille française blonde de 4 ans » comme on le ferait d’un légume chez le primeur. Aujourd’hui, ce marché n’est plus ce qu’il était, ayant connu de graves revers, voire des dégâts irréparables.
Une première vague de frappes fut rendue possible à partir de 2015. Un pilonnage intensif fit en sorte de faire tomber les différentes organisations afférentes, les privant des éléments indispensables de connexion à sa plus haute gouvernance, rendant sa succession difficile, voire impossible. Dans ces conditions, le système pouvait toujours agir, mais en roue libre, sans cap et de manière désordonnée, et donc de fait de façon inefficace.
À partir de 2017, année de l’accession de Donald Trump au pouvoir en tant que 45ᵉ Président des États-Unis, la deuxième phase s’est enclenchée. Il découvre les problèmes du marché sexuel secret, y compris la pédophilie, et entame, avec l’aide des « Q Force » (ainsi que les « O Forces », une section secrète qui leur a été adjointe), ces agents dormants issus de l’ère Kennedy, dont l’ambition avait été, déjà à son époque, de contrer le « Deep State » et ayant conduit à son assassinat, une opération combattant cette organisation tentaculaire, en recrutant une nouvelle organisation secrète alliée aux « O Forces », impliquant des millions de personnes du monde entier dans des domaines stratégiques.
Cette organisation renouvelée, toujours secrète, prend alors un autre nom, regroupant plusieurs millions de personnes dans le monde, particulièrement au sein des Armées, mais aussi dans les milieux scientifiques, les organes de presse, les gouvernements, en réalité tous les lieux stratégiques de la planète. Cette « toile » permet alors d’envisager dans le plus grand secret, à l’écart des oreilles indiscrètes de la Maison-Blanche, une seconde frappe ayant pour objectif d’altérer encore plus profondément la stabilité du système, dans ses fondements structurels mêmes. Grâce à un puissant réseau d’informateurs secrets (et la qualité peu commune de leurs renseignements), une stratégie de haut vol a pu être élaborée, combinant de nombreux facteurs. Il fut par exemple décidé d’opérer de manière simultanée à l’échelle planétaire, pour prévenir toute tentative de réorganisation, tout en empêchant un effondrement prématuré du système, déstabilisant le marché mondial du trafic sexuel d’enfants, tranchant dans le vif des réseaux en rapport et des réseaux connexes, et influençant l’opinion publique contre la pédophilie en tentant une prise de conscience massive auprès du public, relayée de manière plus que mitigée par la presse et se soldant, pour Donald Trump, par une mise en accusation pour tentative de prise du pouvoir de manière antidémocratique. La suite est de l’histoire connue.
Néanmoins, le refus catégorique des peuples face à toute institutionnalisation de la pédophilie, habilement tentée par certains tenants du pouvoir, mais désorganisés et manquant de temps pour se retourner, combiné à cette seconde offensive, fut donc décisif, mettant en déroute ce gigantesque marché, pourtant réputé impossible à démanteler. Tout est en place désormais pour totalement et définitivement en finir avec ce cancer social. Les gens doivent se réveiller, car leur concours est nécessaire. Pour reprendre le cri de guerre des « Q Forces » et des partisans de Donald Trump: « The Best is Yet To Come!« .