Épidémie mondiale

Les avis sont partagés et l’influence des médias y est pour beaucoup. Quoi qu’il en soit, les faits sont probants : la covid n’a pas fait autant de morts qu’elle l’aurait dû.

Nous sommes intervenus, toutes proportions gardées, mais tout de même, pour éviter que le virus ne soit réellement mortel et que le vaccin soit délétère. Nous avons fait le choix de ne pas révéler ces points pour la sempiternelle même raison : la théorie du complot (voir bas de page). Des populations entières peuvent se soulever pour rester dans l’ignorance. Aujourd’hui ce problème semble être réglé. Les gens sont ouverts à la connaissance. Nous sortons donc de la face cachée de votre quotidien pour vous expliquer ce qu’il s’est passé.

Nous avons découvert le pot-aux-roses en 2014. Nous avons mis la situation sous surveillance et nous avons saboté le virus, pour qu’il devienne équivalent à une grippe ou un gros rhume, en tout cas pour qu’il ne ressemble en rien à la peste. Saviez-vous que des gens meurent de la grippe tous les ans ? Parler des gens qui meurent de la covid est presque ridicule en contexte, mais passons.

Pour éviter que les initiateurs (business is business) de cette épidémie ne se rabattent sur un plan de secours parmi lesquels on peut compter, pour ne citer qu’eux : la surélévation de l’Australie pour l’exploitation de terres arables qui auraient ainsi émergé, mais qui aurait causé en contrepartie l’immersion partielle de l’Afrique et d’autres conséquences indéterminables, un conflit nucléaire qui aurait pu fédérer l’ensemble des pays autour d’une gouvernance unique, ou encore ledit « Blue Beam Project » considéré, à tort, comme impossible. La population a forcément été tenue à l’écart de ces informations. Seuls certains individus ou certains services de renseignement d’État ou privé (dont le nôtre) en étaient informés, pour telle ou autre raison. Il faut bien garder à l’esprit que le meilleur moyen de contrôler une population est de la maintenir dans l’ignorance et d’orienter son opinion. Outre l’évidence de la question sanitaire publique, nous avons fait le choix de fortement atténuer la gravité de la situation relative à la covid, permettant aux peuples, de fait, de prendre conscience de l’aberration d’une campagne de manipulation de l’opinion publique (à ce titre, le terme « pandémie » est à l’évidence abusif) portée sur des faits aisément vérifiables comme étant clairement exagérés, voire opposés au discours officiel, mais dont les nombreux témoins se trouvèrent dans l’incapacité d’en témoigner par peur de perdre en crédibilité en étant perçus comme « complotistes ». Si nous avions évoqué ces questions plus tôt, nous aurions tout bonnement été rejetés, et chacun sait, en conscience ou non, que nous aurions pu disparaitre par le simple fait de nous opposer factuellement à certains intérêts. 

Le moment n’était pas encore venu, alors que nous avons à présent le champ libre. Une confrontation frontale avec les détenteurs de ces intérêts est inconcevable. Nous avons donc agi avec subtilité, sur certains éléments-clefs de fragilité et de manière rigoureusement discrète.

En décembre 2019, les premiers cas de covid ont été constatés à Wuhan en Chine. En décembre 2020, seulement douze mois plus tard, les premiers vaccins (Pfizer-BioNTech et Moderna) étaient disponibles. C’est… relativement rapide si l’on compare ces événements avec l’historique épidémiologique mondial (et compte tenu des progrès de la science). Nous avons enfin fini par pouvoir intervenir directement à la source de production des vaccins afin d’en modifier la composition, dans l’objectif d’en altérer la charge virale, mais également et surtout la charge pathogène. Nous avons opéré une substitution au niveau des cuves au moyen d’un agent neutre qui n’avait qu’une seule spécificité : permettre au corps humain une forme de « mise à jour » (ce que permet souvent, d’ailleurs, la « maladie » à l’état naturel) et une réparation des nuisances majeures causées par les biocides, notamment alimentaires. 

Il y a eu des morts, comme certains meurent d’une insuffisance cardiaque, d’une pneumonie, d’une mauvaise chute ou d’une balle dans la tête. Nous ne sommes pas Dieu non plus, mais nous avons activement collaboré pour empêcher la décimation de la population mondiale, tout comme nous étions déjà intervenus, avec davantage de résultat dû à une situation plus simple, début 2000 avec la grippe aviaire (H1N5) et en 2009 avec la grippe porcine (H1N1), grâce à des rayonnements de fréquences étudiées pour induire une chute drastique de la charge virale et freiner la capacité de reproduction et de propagation des virus.

L’objectif des initiateurs de cette stratégie d’ingénierie sociale était de contrôler la démographie mondiale pour l’amener et la maintenir à 500 000 individus. Notre travail a notablement porté ses fruits semble-t-il. Pas de retombées radioactives, un projet « Blue Beam » ravagé (bien que la technologie en rapport sera réutilisée dans la mesure où elle peut s’avérer intéressante, notamment pour l’avancée des techniques de visualisation holographique, comme les projecteurs d’imagerie en 3D qui viendront remplacer les écrans d’ordinateur par exemple, mais aussi et surtout pour faire avancer l’imagerie médicale), assorti d’un avenir qui s’annonce radieux, à condition que chacun accepte que nous changions de système pour parvenir enfin à ce à quoi nous aspirons tous : le bonheur, tout simplement. Et non, ce n’est pas utopiste, c’est le minimum, pour tous et de manière inconditionnelle, et nous entendons bien le mettre à disposition de tous.

Où se trouve notre intérêt ? Eh bien dans la satisfaction d’atteindre cet objectif, d’avoir contribué activement à réaliser cet exploit, et parce que vivre dans un monde agréable l’est davantage que s’il l’était moins. Plaisanterie mise à part, nous n’avons pas vocation de dénonciateurs. Ça n’aurait aucune utilité aujourd’hui et en contexte. Outre l’élaboration de nos stratégies et nos actions menées sur le terrain, notre vocation va dans le sens d’une prise de conscience la plus vaste possible à l’international, de la nécessité, mais aussi et surtout de la possibilité concrète, de passer, enfin, à autre chose en ce monde.

Une pandémie de plusieurs années, mobolisant les plus hautes instances sanitaires mondiales, a malgré tout permis l’augmentation drastique de la démographie globale (nous serions toujours en état de surpopulation). La peste n’a pas permis d’obtenir ce résultat.

Vous fournissez les photos, je fournis la guerre

Si vous ne lisez pas les journaux, vous êtes mal informé. Si vous les lisez, vous êtes mal informé.

En conclusion

Si une interprétation est donnée relativement à un fait préjudiciable, dangereux ou tragique, et que cette interprétation diverge du consensus universel (c’est-à-dire de l’énoncé de la presse et des représentants de l’État), ne concluez jamais au complot. Contentez-vous de penser simplement par vous-même et de chercher à qui profite vraiment la survenance de ce fait, ensachant que certains détiennent le pouvoir de faire survenir n’importe quel événement, n’importe quand, n’importe où. Il y a toujours des groupements d’intérêts qui en profitent grassement.

Rapports

Boutons de téléchargement des rapports relatifs au bâtiment.

Retour en haut