Nous avons eu l’occasion d’étudier très en détails les fondements des ressources propres à la société allemande Gabriel Technologie début des années 2010, notamment par l’entremise de leur intermédiaire en France où la société ne se trouvait pas encore. Cette société a conçu des composants divers et variés, relativement onéreux, reposant sur une connaissance d’une personne d’origine allemande, partie en Inde, et revenue en Europe avec un secret jalousement gardé. C’est cette connaissance qui a été récupérée et exploitée par cette société, fondée à cet effet, et ayant pris pour dénomination, le prénom de ladite personne : Gabriel. L’effet produit par cette technologie est la dépollution électromagnétique. Les techniciens de Gabriel Technologie avançaient alors qu’en dispersant deux milliards de leurs composants sur toute la surface de la Terre, le « Gabriel Chip » tout particulièrement, ils pourraient, certainement à raison, dépolluer la planète entière.

Cette démarche nous ayant séduits, nous nous sommes donc rapprochés d’eux de manière discrète, ces derniers étant particulièrement jaloux de la détention de leur secret, lequel ne pouvant matériellement pas faire l’objet d’un dépôt de brevet, malheureusement pour eux. À l’analyse d’un objet issu de leur laboratoire et remis à notre intention, nous avons compris le fonctionnement de ladite « technologie de Gabriel » (ce qui n’avait pas été envisagé comme possible par les représentants de l’entreprise, lesquels ne l’ont d’ailleurs jamais su). Nous avons donc reproduit, par un autre moyen, son principe actif. Nous en avons optimisé le concept et développé une technologie similaire, mais plus puissante que la leur, et qui plus est, indestructible par quelque moyen que ce soit, lui garantissant un effet indéfiniment pérenne ; technologie que nous avons très nettement optimisée depuis lors.

Les premiers essais ont d’ailleurs été menés par la personne qui s’est faite l’intermédiaire de Gabriel Tech auprès de nous (lequel n’était pas embauché par la société, il n’était donc pas en charge de la défense officielle de ses intérêts), avec du matériel d’extrême précision breveté aux nomes militaires et d’une valeur native estimée à €50.000,00 (cinquante mille euros). Les premières mesures faisaient apparaître un environnement particulièrement délétère, la maison qui était le théâtre de l’expérience était en outre positionnée sous une ligne électrique à haute tension. Quelques dispositifs avaient été répartis aléatoirement dans l’espace de vie qui était l’objet de l’expérience. Les résultats, au bout de deux heures d’exposition à l’effet du principe actif de nos éléments, montraient une dépollution de 87% de l’environnement ambiant. 10% de plus après une heure d’exposition supplémentaire, et seulement quelques traces restantes au bout de huit heures supplémentaire. Après retrait des éléments, le lendemain, la pollution électromagnétique avait regagné sa valeur initiale en une heure et demie. Nous avions la preuve irréfutable de la viabilité de notre technologie.