De l'eau pure en abondance
Prenons le temps de poser le regard quelques instants sur la Nature. L’observation scientifique a apporté moultes informations relatives aux cycles de l’eau. Nous parlons de cycles puisqu’ils sont séparés en catégories distinctes. D’un côté, nous avons le cycle de l’eau tel qu’observé à la surface de notre planète, d’un autre le cycle de l’eau dans un corps humain, encore un autre dans un système végétal complexe comme une forêt par exemple. Il suffit de mettre en corrélation l’ensemble de ces cycles pour constater des points communs entre eux, beaucoup de points communs, mais à des échelles différentes. La présence d’eau dans le vivant est manifeste et nécessaire. L’eau est partout, sous des formes et en proportions différentes, mais toujours présente lorsque la vie se manifeste. La notion de « vivant » implique la notion d’organisme. S’il est évident aujourd’hui qu’un arbre est considéré comme un organisme, par conséquent une forêt en est un aussi, de fait, puisqu’elle est composée d’un système vivant complexe, organisé et évoluant sur son plan d’interaction. Du microscopique au macroscopique, il n’y a qu’à changer de point de vue pour observer que le fonctionnement est le même. C’est selon ce point de vue que vous comprenez que notre planète est, factuellement, un organisme aussi, et conscient* de l’être. Cette conscience s’appelle Gaïa.
Prenons l’exemple d’un corps humain. Au cours du cycle de l’eau qui s’effectue à travers le processus métabolique, il y a production d’eau (entre 200 ml et 600 ml par jour pour un adulte en bonne santé). Il s’agit de la création d’eau pure à travers un processus d’oxydation de substrat contenant de l’hydrogène, on appelle cela de l’eau métabolique. Notre planète fonctionne selon un processus équivalent, elle métabolise de l’eau pure en permanence et on appelle cette eau de l’EAU PRIMAIRE. Le processus en question correspond à la combinaison de l’hydrogène avec l’oxygène pour former de l’eau.
[*] La science est en train de découvrir et comprendre que TOUT est conscience, que tout est doté d’une conscience, et cette découverte s’est produite grâce à la difficulté de compréhension du phénomène-même de la conscience.
Cela s’opère dans les profondeurs de la terre, dans la croûte terrestre, dans des conditions particulières de température et de pression, conditions qui peuvent varier en fonction de la composition minérale du substrat. L’eau est donc présente sur ce plan, d’une part sous forme potentielle, c’est-à-dire la forme appelée « cristal« , forme sous laquelle l’hydrogène et l’oxygène sont combinés dans des structures moléculaires complexes. D’autre part, l’eau est présente sous forme effective, liquide ou gazeuse. Les projections statistiques effectuées par les différentes études scientifiques évoquent que la croûte terrestre contient effectivement plus d’eau que toute l’eau présente à la surface, océans, lacs, aquifères, calottes glaciaires réunis. L’eau primaire est toujours sous pression et naturellement poussée vers la surface.
L'eau n'est jamais statique. Elle change constamment de forme. Elle est soit liquide, soit gazeuse, soit cristallisée dans les roches et les minéraux. Le cycle gaz-liquide-cristal se répète à l'infini. L'oxygène et l'hydrogène se combinent sous l'effet des forces électromécaniques de la terre pour former l'eau liquide. Non seulement l'eau se forme constamment dans la terre, mais aussi les roches, les minéraux et le pétrole. Ce que je cherche, c'est l'eau à l'état liquide.
Dr. Stephen Riess, géophysicien (1898-1985)
Alors pourquoi certaines zones dans le monde manquent-elles d’eau ? Pourquoi l’eau disponible est-elle parfois extrêmement polluée ? Pourquoi évoque-t-on de plus en plus la notion de « guerre de l’eau » ? Outre l’influence morbide des intérêts de grands groupes financiers dans le commerce et la distribution de l’eau, les technologies de prospections disponibles pour trouver de l’eau primaire étaient cachées pour dépendre uniquement de ressources contrôlables et limitées, constituant un marché exceptionnellement rentable. Les puits et forages n’étaient tentés que dans des nappes phréatiques et ne concernaient que dans la majorité des cas que de l’eau d’infiltration. L’eau d’infiltration est exposée ou a été exposé à différentes pollutions potentielles, qu’elles soient d’origine humaine ou non. L’eau primaire, appelée aussi eau originelle, n’a jamais été en contact avec la moindre source de pollution. Elle alimente le cycle hydrologique de surface.
La prospection en rapport fait appel aux technologies de résonance développées pour la prospection de pétrole. Des milliers de forages ont été mis en œuvre afin de révéler ces ressources de Vie et de permettre d’apporter de l’eau dans des territoires impensables tout autour du globe. Le projet emblématique est celui qui a permis d’alimenter la Grande rivière artificielle construite en Lybie entre 1984 et 2007 à l’initiative de Mouammar El Kadhafi. Mis en service en 1991, ce système de transport et de distribution d’eau primaire via un réseau de plus de 3000 km a permis de développer la production agricole en plein désert et d’alimenter en eau une population de plusieurs millions d’habitants. Ce projet est bien alimenté par de l’eau primaire et non pas puisée dans une soi-disant nappe phréatique d’eaux fossiles sahariennes. L’eau est aussi présente en abondance sous les déserts et elle est renouvelable.
Cette eau primaire offerte par Gaïa et puissamment biogène va être mise à disposition de tous au bénéfice de Tous. Outre ses bienfaits physiologiques, cette eau est un puissant vecteur de cohésion profonde puisqu’elle porte l’information d’une même source : le cœur de Gaïa.